Press Clipping
05/10/2016
Article
Les Poules à Colin

Cette fois, nous vous présentons de la musique venant du Québec !

Whether you know French or not, we think you will love the music of this group of young friends from Quebec–Les Poules à Colin (Colin’s Hens),
Some things seem as if they’re meant to be, as if anything else would be unthinkable. That’s certainly how it is for Les Poules à Colin. The five members have known each other since they were infants, as their parents gathered at festivals around Québec and on weekends to play folk music together. All of them absorbed music before they could even speak and they started their musical explorations with each other. Forming a band was simply the next natural step.
Even the name was a gift: What could be more perfect than Les Poules à Colin (Colin’s Hens), the name of a well-known regional tune, for a group of four women and a man named Colin? Fate can play wonderful tricks. And now Les Poules à Colin are heading south of the 49th parallel for their first big U.S. tour.
“When we were little there would be parties every week at someone’s house,” multi-instrumentalist (guitar, mandolin, banjo, bouzouki, feet) Colin Savoie-Levac recalls. “We’d all be there with our folks and we’d hear all this traditional music. So we’ve been exposed to it, and we’re influenced by it. But we don’t try to restrict ourselves, we’re finding our own voice.”
They definitely did that with their second album, 2014’s Ste-Waves, which garnered glowing reviews across Canada and brought them a nomination for a Félix Award, the Québec equivalent of a Grammy. Four years of growth, gigging, and writing had gone into that disc, and its broad scope shimmers. Most of the material is original, building on the tradition they know so well but looking out from it.
“The foot percussion is very important,” Savoie-Levac insists. “We don’t have a drummer, so my feet on a board are a vital part of the rhythm section. The feet set the groove and the tempo for the rest of the band.”
That groove is a vital part of Québecois music. “It has to be there to make it work,” Savoie-Levac notes. “The music isn’t complex, so the groove gives it the power, the joy. In that way it’s similar to Cajun music.”
Les Poules à Colin will have a chance to explore those Cajun connections when they play the Festival International de Louisiane in Lafayette, Louisiana, from April 22-24, a curtain-raiser to the band’s nine-date American tour in July, which will take in gigs and festivals from New England to Wisconsin, and on to Chicago.
In spite of the name, Les Poules à Colin is very much a democracy. This Colin definitely isn’t in charge; he’s heavily outnumbered by women, including his own bass-playing sister, Marie, along with (Béatrix) Méthé, guitarist Éléanore Pitre (replaced in Lafayette by Simon Marion), and pianist Sarah Marchand-Lebossé.
“We formed the band because we were all already good friends,” Savoie-Levac notes. “Apart from the irony in the name, we never gave the male-female ratio a thought. We knew each other well before all this, and now we’ve had the group for seven years, they’re really like my sisters or my best friends. We make our music together and all decide where it’s going.”
As part of a young generation, the members of Les Poules à Colin are proud of their native province and its tradition, but they’re also eager to connect it to all they see every day. The time of Québec versus the world is long gone; now it’s Québec as part of the world, and their music reflects that.
“I think Ste-Waves was the first real expression of that,” Savoie-Levac observes. “It was a statement of who we were. We write individually and bring the music to rehearsals, then we all arrange it. The music we’re writing now shows even more of the change. We’re not letting go of the past at all, but we’re reaching out to the future.”
Some of that new material will be featured on the U.S. tour, and plenty more on the band’s third CD, which they intend to record and release in 2017.
“We’ll be road testing pieces on this tour, tightening them up and getting them ready for the studio,” Savoie-Levac says, then adds, “But there will be plenty of older material, too, both songs and tunes. It’s going to be a party.”
Special thanks to: Le Conseil des arts et des lettres du Québec, Woodenshipproductions, and FAMgroup Management
Que vous parliez français ou non, nous pensons que vous allez adorer la musique de ce groupe de jeunes amis québécois : Les Poules à Colin.
Certaines choses semblent destinées, comme si toute autre chose serait impensable. C’est certainement comme cela pour Les Poules à Colin. Les 5 membres du groupe, tous issus de familles de musiciens traditionnels encore actifs dans le milieu, se connaissent depuis toujours, côtoyant les coulisses des festivals folk depuis leur enfance. La formation du groupe fut donc une étape naturelle.
Même le nom était un cadeau: qu’est-ce qui pourrait être plus parfait que Les Poules à Colin, le nom d’une chanson traditionnelle bien connu au Québec, pour un groupe de quatre femmes et un homme du nom de Colin? Le destin peut jouer des tours magnifiques. Et maintenant Les Poules à Colin se dirigent au sud du 49e parallèle pour leur première grande tournée américaine.
“Quand nous étions petits, il y avait des soirées traditionnelle chaque semaine à la maison de quelqu’un,” dit le multi-instrumentiste (guitare, mandoline, banjo, bouzouki, pieds ) Colin Savoie-Levac. “Nous étions tous là avec nos parents et nous aimions entendre toute cette musique traditionnelle. Donc, nous avons été exposés à cette musique, et elle nous a influencés. Mais nous ne cherchons pas à nous limiter, nous trouvons notre propre voix.”
Ils ont certainement fait cela avec leur deuxième album, Ste-Waves (nov. 2014), qui a reçu des critiques élogieuses partout au Canada et leur a apporté une nomination pour un Prix Félix, l’équivalent Québécois des . Quatre années de croissance, de gigs, et d’écriture paraissent dans ce disque. La plupart du matériel est original, construisant autour de la tradition qu’ils connaissent si bien.
La podorhythmie est très importante”, insiste Savoie-Levac . “Nous ne disposons pas d’un batteur, donc mes pieds sur une planche sont une partie essentielle de la section rythmique. Les pieds fixe le groove et le tempo pour le reste du groupe.”
Le groove est une partie essentielle de la musique québécoise . ”La musique n’est pas complexe, de sorte que le groove donne le power, la joie. En ce sens, c’est similaire à la musique Cajun.” D’ailleurs, Les Poules à Colin ont eu la chance d’explorer ces liens Cajun, car ils reviennent de jouer au Festival International de Louisiane à Lafayette, qui se déroulait du 22 au 24 avril.
D’ailleurs, Les Poules à Colin ont eu la chance d’explorer ces liens Cajun, car ils reviennent de jouer au Festival International de Louisiane à Lafayette, qui se déroulait du 22 au 24 avril.
En dépit de leur nom, Les Poules à Colin sont une démocratie. Colin n’est définitivement pas en charge; il est fortement en infériorité numérique par les femmes, y compris sa propre sœur-bassiste, Marie, ainsi que Béatrix Méthé (violoniste-chanteuse), la guitariste Éléonore Pitre et la pianiste-chanteuse Sarah Marchand.
“Nous avons formé le groupe parce que nous étions déjà tous de bons amis”, note Savoie-Levac. “En dehors de l’ironie du nom, on n’a jamais pensé au ratio homme-femme. Nous nous connaissions bien avant tout cela, et maintenant le groupe à sept ans. Elles sont vraiment comme mes sœurs ou mes meilleures amies. Nous faisons notre musique et prenons les décisions tous ensemble.”
Faisant partie d’une jeune génération de musiciens, les membres de Les Poules à Colin sont fiers de leur province natale et de sa tradition, mais ils sont aussi désireux de se connecter à ce qu’ils voient tous les jours.
“Je pense que Ste-Waves a été la première véritable expression de cela,” observe Savoie-Levac. “Ce fut une déclaration de qui nous étions. Nous écrivons individuellement et apportons la musique aux répétitions, puis nous arrangeons ensemble. La musique que nous écrivons aujourd’hui montre encore plus de changement. Nous ne délaissons pas le passé, mais nous tendons la main au futur.”
Une partie de ce nouveau matériel sera présenté durant la tournée américaine, et beaucoup plus sur le troisième CD du groupe, qu’ils ont l’intention d’enregistrer et de sortir en 2017 .
“Nous allons essayés les pièces sur la route sur cette tournée, les peaufiner et les préparer pour le studio,” Savoie – Levac dit, puis ajoute: “Mais il y aura beaucoup de matériel ancien, aussi, des chansons et des airs. Ça va être un party.”
Remerciements particuliers à: Le Conseil des arts et des lettres du Québec , Wooden Ship Productions et FAMgroup